Si One Eye Dollar était...
One Eye Dollar, groupe lillois de heavy stoner rock, a lancé les hostilités lors du concert de Crowbar à la Péniche Iglerock de Douai. "C'était génial, très rock n'roll avec un guitariste malade qui ne tenait plus debout, le bassiste qui arrive sans basse, du retard... Mais c'était plein d'énergie. La salle était blindée dès le début des hostilités. Une soirée vraiment vraiment cool" se rapelle le groupe, qui a accepté de répondre, avec humour, à une interview "si j'étais..."
Jaune doré, avec des bulles et de la mousse.
Si OED était un sentiment ?
L'envie de tailler la route, de filer à tombeau ouvert vers la liberté la plus totale.
Si OED était une oeuvre d'art non musicale ?
Un tatouage, probablement old-school. Ca fait partie de notre culture, ça laisse de la place à l'interprétation et possède souvent un sens très fort. Et ça pique.
Si OED était un pays ?
L'Italie. Plusieurs d'entre nous y ont leurs racines, et c'est le pays d'origine des westerns spaghetti, qui sont partie intégrante de notre univers. Au même titre que Rocco Siffredi.
Si OED était une chanson ?
"Bury me in smoke", de Down. Une grosse source d'inspiration commune, et le texte nous parle tout autant...
Si OED était une saison ?
La saison 1997/1998 du Racing Club de Lens. Champions de France, quand même !
Si OED était un animal ?
Un serpent pour le mordant, un bison pour la puissance. Ou une musaraigne pour le mordant, un lamentin pour la puissance. On n'a pas su choisir.
Si OED était une boisson ?
Bière, whisky, bière, whisky, whisky ,bière, bière, ice tea (pour le batteur), whisky, bière, bière, whisky.
Si OED était une façon de mourir ?
Étouffé la tête coincée dans une grille d'arbre. Ou dans une paire de seins.